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Le centre Beautyline pratique l’épilation définitive par lumière pulsée depuis 2007. Nous utilisons des machines à lumière pulsée Ariane de dernière génération qui permettent de traiter toutes les zones du visage et du corps en toute sécurité.
Nous vous recevons dans un cadre professionnel et proposons des épilations définitives aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
Nous sommes capables traiter la quasi totalité des types de peaux et de poils. Depuis quelques années, l’usage de la lumière pulsée s’est répandu dans le domaine de l’épilation.
Les appareils d’épilation définitive par lumière pulsée, qui reposent sur le principe de la lumière pulsée intense, sont apparus dans les années 90 en parallèle des lasers qui prenaient de plus en plus d’importance dans le domaine esthétique. A cette époque, les principales applications des lasers étaient le resurfacing ablatif, le détatouage, le traitement des lésions pigmentaires et des lésions vasculaires.
Deux faits importants ont permis au marché de l’épilation d’évoluer :
Souvent appelé Epilation Définitive pour plus de simplicité et pour une communication plus claire, la photo-dépilation progressive et durable se différencie par une application et une finalité. Dans un premier temps le poil n’est pas épiler (arraché) mais dépiler (détruit). Le terme photo-Dépilation est lié à la technologie utilisé, la lumière pulsée intense.
Progressive est utilisé pour expliquer que plusieurs séances seront nécessaires pour arriver aux résultats et enfin durable car si le poil traité est définitivement mort, il est possible que de nouveau follicules pileux soient créé par le corps et cela intiment lié au cycle hormonal.
La lampe flash émet une lumière filtrée et sécurisée qui agit uniquement sur le poil.
Les programmes prédéfinis de la machine permettent une sélection simple et parfaitement adaptée du traitement pour chaque client lors d’une épilation définitive.
La lumière produite lors d’une épilation définitive par lumière pulsée, génère une énergie contrôlée qui est absorbée par la mélanine du poil puis élimine les follicules pileux responsables du cycle de pousse, sans risque pour la peau.
Une fois le follicule supprimé, aucun poil ne peut repousser.
La lumière diffusée pendant le flash est absorbée par la mélanine, le pigment responsable de la coloration du poil. La lumière est alors convertie en chaleur et va détruire le poil en cautérisant les vaisseaux alimentant le bulbe pileux. Au fil des séances, l’action de la lumière pulsée empêchera la repousse des poils.
Il faut arrêter l’épilation à la cire ou à la pince ainsi que la décoloration au moins un moins avant la séance. La personne peut se raser régulièrement entre deux séances, elle devra se raser un à deux jours avant la séance afin que les poils ne dépassent pas de la surface de la peau de plus de 1 mm.
Il faut informer la personne sur le principe de fonctionnement de la photo-dépilation, du nombre de séances, de l’intervalle entre deux séances, des résultats obtenus, des contre-indications…
Un point indispensable sera de remplir la fiche de consentement avec la personne. Il faudra vérifier que les contre-indications sont respectées avant chaque nouvelle séance (soleil, médicaments photo-sensibilisants…). Il faudra réévaluer le phototype et la taille du poil. La personne validera le consentement en le signant avant chaque nouvelle séance d’épilation définitive.
Dès la 1ère séance, on observe une nette diminution de la repousse. Après chaque séance, les poils tombent progressivement dans les 10 à 20 jours. Une fois tombés, les poils ne repousseront que 40 à 60 jours après les séances.
Au fil des séances, les poils repoussent de plus en plus fins et de moins en moins nombreux.
On estime avec l’expérience qu’il faut en moyenne 6 à 9 séances espacées de 6 à 8 semaines selon la zone, selon les personnes afin d’obtenir un vrai résultat.
C’est en 1972 que l’Américain Harte, déposa le premier brevet sur le principe de la lumière pulsée. Monsieur Harte s’est bien sûr inspiré de toute son expérience sur les lasers, pour inventer la première lampe flash à lumière pulsée. Dans son brevet, il a décrit le mécanisme de photo-dépilation en donnant des valeurs de fluence et de durée d’impulsion toujours valables aujourd’hui.
Son principe avait l’inconvénient de traiter les poils un par un, en les flashant individuellement par l’intermédiaire d’une fibre optique. le procédé était très log et très onéreux. Cette technologie a été testée pendant plus de trente ans, pour arriver aujourd’hui à une très bonne maîtrise du procédé. Depuis, d’énormes progrès ont été accomplis sur les aspects technologiques des machines.
Aujourd’hui les machines sont suffisamment rapides et les surfaces de traitement suffisamment importantes pour pouvoir photo-dépiler deux demi-jambes par exemple en une demi-heure, avec une qualité irréprochable.
L’intérêt de la lumière pulsée intense est d’avoir plusieurs champs d’application, contrairement au laser dont l’action est beaucoup plus spécifique. la plupart des lampes flash équipées des filtres correspondants peuvent avoir les applications suivantes : épilation, traitement des lésions pigmentaires, traitements des lésions vasculaires, traitement de l’acné, et le photo-rajeunissement.
Les machines de photothérapie à lumière pulsée, appelées lampes flash, sont en général composées d’une ou plusieurs pièces à main (PAM), chacune étant adaptée à un traitement spécifique, et du corps de la machine qui comporte trois sous-ensembles :
Les pièces à main, ou applicateurs, sont composées essentiellement :
Pour produire une lumière intense et pulsée dans le tube flash, il faut faire passer dans ce tube un courant très important. On obtient ce courant, en provoquant une décharge brutale de l’énergie stockée dans des condensateurs du générateur, dans le tube flash de la PAM, par l’intermédiaire d’un interrupteur électronique (IGBT).
Les condensateurs fonctionnent comme une batterie, qu’on va charger pendant un temps assez long avec un courant raisonnable, puis que l’on va décharger très brutalement pour obtenir un flash très puissant. Ce temps de charge, indispensable, sera le temps minimum entre deux flashs successifs. La charge se fait par un circuit, qu’on appelle le chargeur. Ce chargeur est une alimentation électrique un peu particulière.
Dans certaines machines, on procède à une rafale d’impulsions lumineuses successives pendant le flash pour traiter des peaux foncées par exemple. Dans ce cas une alimentation appelée SIMMER, est installée pour maintenir le tube flash allumé entre les impulsions lumineuses du flash.
La lumière émise par la lampe est une lumière blanche. Cette lumière blanche est en réalité la somme de toutes les couleurs allant du violet au rouge. La lumière blanche n’est pas une couleur particulière. C’est cette décomposition de la lumière blanche en un spectre multicolore que l’on peut observer lors d’un arc en ciel par exemple, ou lors du passage d’un rayon de lumière à travers un prisme. On parle du spectre de la lumière.
L’abscisse ou l’axe horizontal correspondant à la longueur d’onde de chacune des raies du spectre. La graduation est en nanomètre (nm), c’est à dire une milliardième de mètre.
La lumière émise est caractérisée par la distribution spectrale des différentes couleurs qui la composent. Toutes les lumières blanches ne sont pas identiques. Les lumières blanches que l’on qualifie de chaudes, ont des composantes rouges plus accentuées, alors que les lumières froides ont des composantes bleues plus marquées.
Il faut se souvenir qu’une lumière qui a une couleur bien spécifique, par exemple celle d’un laser est caractérisée par une longueur d’onde unique.
Un gros avantage des lampes flash, est qu’elles utilisent une lumière blanche à large spectre, qui permet d’effectuer des traitements différents. En fonction des traitements, ou applications désirées, le filtrage de la lumière sera différent. Les parties du spectre qui sont dangereuses, seront filtrées donc supprimées. On ne gardera que la partie du spectre utile.
La machine lumière pulsée Ariane®, par exemple, est équipée de deux pièces à main (PAM), filtrées différemment pour les deux applications HR (Hair Removal) et SR (Skin Rejuvenation). La machine lumière pulsée Ariane® pourra recevoir d’autres PAM dans le futur, filtrées pour d’autres applications.
L’énergie est un concept qui permet de quantifier les interactions entre des phénomènes très différents ; c’est un peu une monnaie d’échange commune entre les phénomènes physiques.
L’unité officielle de l’énergie est le joule. Dans le domaine de la nutrition, on exprime fréquemment l’énergie en calories (1 calorie = 4.18 J).
En électricité, on utilise le watt/heure (W/h), énergie consommée pendant une heure par un appareil ayant une puissance d’un watt. Rappel : la puissance est la valeur de l’énergie fournie par un élément divisé par la durée du phénomène, P = E/t. La Puissance se mesure en watts (1 W = 1 J/s).
Dans notre cas, l’énergie représente la quantité de lumière qui sort du conduit optique.
La fluence représente la quantité de lumière ou énergie qui sort d’une surface de un cm². L’unité de fluence est exprimée en joules/cm². La fluence est la caractéristique la plus importante d’une machine.
Pour obtenir une bonne qualité de traitement, un niveau minimum de fluence est indispensable. Grâce à ce niveau de fluence, on pourra obtenir une élévation de température suffisante de la cible, poil ou vaisseau sanguin.
En général les traitements nécessitent des fluences minimum de 12 J/cm² dans le cas d’une photo-dépilation facile, à une fluence de l’ordre de 20 J/cm² pour du vasculaire épais. Bien sûr il va de soi que cette énergie lumineuse doit être de qualité c’est à dire filtrée, bien calibrée et précise, c’est la condition d’un bon traitement.
La fluence est mesurée par un appareil appelé un joule-mètre. Celui-ci est composé d’une tête, composée d’un corps de couleur noire, absorbant la lumière et une mesure de température associée. Les joule-mètres peuvent être configurés pour afficher directement la mesure de fluence.
Sur la machine lumière pulsée Ariane®, chaque configuration de traitement est mesurée, puis calibrée pour garantir une efficacité maximale de traitement.
La durée du flash (et des impulsions qui la composent) fait intervenir la notion de TRT de la cible : Temps de Relaxation Thermique. C’est un temps nécessaire pour permettre le transfert de la chaleur en dehors de la cible pour baisser sa température de moitié.
TRT = D²/C.k (D = Diamètre ; C = Coefficient dépendant de la géométrie ; k = diffusivité thermique).
Le TRT est proportionnel au carré du diamètre de la cible, dans le cas où la cible est un poil, C.k vaut 0.02. Pour un poil de 300 microns, D vaut 0.03 cm, et le TRT vaut alors 45 ms. Le TRT de l’épiderme est de l’ordre de 3 à 10 ms.
Dans le cas des phototypes élevés, le flash de lumière peut être composé d’une séquence de plusieurs pulses répétitifs espacés par un temps suffisant pour laisser l’épiderme se refroidir.
Ce temps mort doit être supérieur au TRT de l’épiderme. La cible, ou poil dans notre cas, continue à accumuler la chaleur tout au long du flash, jusqu’à atteindre la température de dénaturation tissulaire désirée.
Dans la profusion de lampes flash qui existent aujourd’hui, il est important de savoir qu’il n’existe pas plus d’une dizaine de machines à lumière pulsée dans le monde, dignes de ce nom, adaptées aux besoins des professionnels et qui prennent en compte les aspects Sécurité et Qualité de traitement.
Ces machines utilisent de l’air soufflé dans la pièce à main pour refroidir le tube. Les capacités calorifiques de l’air étant limitées, les tubes sont mal refroidis et s’usent très rapidement. Les fabricants limitent alors l’énergie par flash, ainsi que la cadence des flashs. Ces machines sont légères, mais leurs performances sont telles qu’elles sont aujourd’hui délaissées par les professionnels avertis.
De plus la majorité de ces machines à lumière pulsée, ne sont pas filtrées, pour la simple raison que le filtrage réduit la fluence de sortie des PAM, comme dans ces machines la fluence de sortie est déjà faible, les fabricants prennent le risque de ne pas les filtrer. Le résultat est que ces machines à lumière pulsée sont dangereuses et inefficaces, ce qui finit par nuire à la réputation de la technologie des machines à lumière pulsée (lampes flash).
Dans ce type de machines à lumière pulsée, l’eau déminéralisée, souvent déionisée, est utilisée pour refroidir le tube flash. Dans ce cas, le tube fonctionne dans des conditions idéales, et peut offrir en même temps des énergies importantes, une cadence de flash importante, et une durée de vie pouvant aller jusqu’à plusieurs milliers, voir dizaines de milliers de flashs.
La machine à lumière pulsée est dimensionnée pour répondre à ces performances. Elle est équipée d’un générateur et d’un réservoir d’énergie capacitif important. Elle est équipée aussi d’un bloc hydraulique et d’un réservoir d’eau suffisant. Le poids et le volume sont par conséquent importants.
Le Cover Rate (Cr) est l’indicateur principal de la puissance d’une machine à lumière pulsée. Il détermine la vitesse de travail. Il doit bien sûr être donné pour une efficacité de traitement garantie. F(Hz) = 1/T (s) donc Cr = S.f = S/T .
La vitesse de traitement est le produit de la surface du conduit optique, par la fréquence (ou cadence) maximum des flashs. La grande majorité des bonnes machines à lumière pulsée refroidies par eau, ont une cadence de 1 flash toute les 3 secondes avec un conduit optique de 5 cm². Le cover rate est alors de Cr=1.6. (5/3).
Il est important de prendre conscience que la vitesse de traitement Cr, va conditionner la rentabilité de la machine à lumière pulsée. En effet, une machine qui fonctionne deux fois plus vite, permettra de traiter deux fois plus de patients.
Il existe 2 raisons à cela :
Il est intéressant de savoir que le spectre d’émission de la lampe flash dépend de la température du plasma dans le tube et donc du courant électrique dans le tube.
De ce fait il est possible d’adapter le spectre d’émission de la lampe à la cible, en choisissant le bon courant dans le tube.
L’opérateur, en sélectionnant des configurations de traitement, choisit en même temps un spectre de lumière bien adapté à la cible.
Réflexion : les courbes de réflexion de la lumière de la peau montrent qu’il est nécessaire d’envoyer des énergies plus élevées sur les peaux blanches pour garder une même absorption globale des tissus.
Absorption : la lumière qui pénètre les tissus pendant le flash sera absorbée par les principaux chromophores qui sont le sang, la mélanine et l’eau.
Entre 600 nm et 1200 nm, la mélanine absorbe la plus grande partie de la lumière. Sans mélanine, c’est dans cette bande allant de 600 à 1200 nm que l’absorption des tissus est la plus faible et sera la plus propice à une illumination en profondeur. Au delà de 1200 nm, l’absorption lumineuse de l’eau devient importante.
L’effet thermique de la lumière pulsée sur les tissus se fait en 3 étapes : une transformation de la lumière en chaleur, un transfert de chaleur et une réaction des tissus liée à la température et la durée de chauffage. Cela entraine la dénaturation ou la destruction du volume tissulaire.
La chaleur est induite par la lumière pulsée suite à l’absorption de cette lumière par les différents chromophores. C’est la conversion en chaleur de la lumière absorbée dans le chromophore qui est à l’origine d’une source de chaleur que l’on peut appeler « primaire. Dans le visible (bleu, vert, jaune), l’absorption s’effectue principalement au niveau de l’hémoglobine et de la mélanine. Le rouge et le proche infrarouge (0.6 à 1.2ym) sont peu absorbés et pénètrent profondément les tissus.
L’absorption se fait en fonction de la longueur d’onde et du chromophore dans l’ultraviolet. La réflexion optique détermine quelle proportion du faisceau va effectivement pénétrer dans le tissu. La connaissance précise de la réflectivité de la peau est importante car elle peut atteindre des valeurs élevées.
La diffusion optique est une interaction de la lumière avec la matière dans laquelle la direction du rayonnement incident est modifiée par des hétérogénéités des tissus. La diffusion joue un rôle important dans la distribution spatiale de l’énergie absorbée.
La zone chauffée va augmenter de volume suite au transfert de chaleur. Le transfert se fait grâce au mécanisme de conduction de la température. Il se fait des molécules chaudes vers les molécules froides.
Le résultat sera la dénaturation tissulaire. La température atteinte dans les tissus et la durée de cet échauffement sont très importants. Le comportement du tissu lors de l’agression thermique est aussi un paramètre capital à prendre en considération dans le mécanisme de dénaturation. Ce mécanisme photothermique se nomme : Photocoagulation sélective.
L’action thermique du flash de lumière permet :
L’effet thermomécanique est spécifique à l’impact d’un rayonnement laser, lorsque la durée du tir est inférieure au temps de relaxation thermique de la cible, il se produit un confinement thermique avec accumulation de chaleur sans diffusion thermique et une vaporisation explosive de la cible.
Ce mécanisme se nomme : photo-thermolyse sélective. Les effets mécaniques se caractérisent par la production d’une onde de choc qui peut être induite par la création d’un plasma ou le phénomène de cavitation. C’est ce phénomène qui se traduit lors du détatouage avec le laser Nd:YAG Qswitché.
Les grosses molécules de pigment, bien tolérées par la peau, explosent et donnent naissance à des molécules plus petites qui seront résorbées par la peau. C’est ce mécanisme particulier et spécifique qui peut être dangereux s’il est mal maîtrisé.
Ce procédé de photothermolyse est impossible à effectuer avec les lampes flash, qui adoptent un procédé de lumière non agressif et beaucoup plus doux.
Sur ces images, les effets des deux procédés sont visiblement bien différents :
Les deux types de traitements sont dits sélectifs, parce que la lumière sélectionnée pour le traitement va être absorbée préférentiellement par le chromophore choisi.
Technologie du Laser (Caractéristiques d’environ 80% des lasers) :
Technologie de la Lumière Pulsée (Caractéristiques de la majorité des machines Lumière Pulsée) :
Comme nous l’avons vu précédemment, la lumière non filtrée émise par une lampe flash a un spectre qui s’étend de 400 nm à 1200 nm. Pour une bonne protection de l’épiderme et une bonne efficacité, cette lumière doit être débarrassée par filtrage des longueurs d’onde inférieures à 600 nm. On a vu que l’hémoglobine était particulièrement absorbante au dessous de 600 nm, et que la bande de fréquence entre 600 nm et 1200 nm est particulièrement adaptée à la mélanine contenue dans le poil. La lumière ainsi filtrée a un haut pouvoir de pénétration des tissus, et pourra être d’une façon sélective par cette mélanine. Il suffira d’adapter la fluence et la durée des flashs aux types de poils et au type de peau pour obtenir un excellent résultat.
Spectre final à la photo-dépilation : le spectre d’émission de la PAM HR est ajusté dans la bande 600 nm – 1200 nm entre les bandes d’absorption de l’oxyhémoglogine et l’eau. On parle d’une fenêtre dans le spectre d’absorption, qui permet d’atteindre la mélanine du poil.
Cible : c’est la mélanine du bulbe du poil. Elle est présente dans la tige pilaire (corticale et médullaire), dans les mélanocytes de la matrice pilaire au sommet de la papille des mélanocytes de l’épiderme. Elle est en compétition avec la mélanine.
La quantité de charge en pigment devient un facteur influant sur l’absorption du rayonnement. La mélanine foncée de type eumélanine présente dans les poils noirs et châtains absorbe mieux que la phéomélanine contenue dans les poils blonds et roux. Ainsi, une cible idéale est un poil noir sur peau claire (avec un épiderme peu chargé en pigment). Plus les poils sont pigmentés et meilleur sera le résultat.
En phase anagène précoce, c’est à dire dès que le poil commence à repousser. A ce stade, le follicule pilaire a toute son intégrité et est moins profond qu’à un stade anagène plus tardif, il est aussi plus pigmenté à sa base.
En phase anagène, l’efficacité est bonne, même si elle est moindre. Aux stades catagène et télogène, il n’y a plus d’efficacité, l’activité de mélanogénèse cesse, le bulbe se sépare de la papille, commence son ascension et le poil tombe. Il est donc nécessaire de bien connaître le déroulement du cycle pilaire : la durée de ces différentes phases, notamment anagène et télogène, le pourcentage de poils dans chacune de ses phases, la profondeur d’implantation du poil. Schématiquement, il y a 60% de poils en phase anagène au niveau de la lèvre supérieure, 40% au niveau des avant-bras, 20 à 30% pour toutes les autres zones.
La puissance va permettre de brûler la racine du poil en profondeur. Seuls, les poils en phase de croissance (phase anagène) seront détruits par la lumière pulsée. Il faut 6 à 9 séances étalées sur la durée d’un cycle pilaire, c’est à dire 12 à 18 mois.
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